Colette RENARD

Chers Thierry et Dany, Je vous présente toutes mes condoléances. Je partage votre tristesse. Amitiés. François.

Bonjour à vous,
Annick, Eric, Thierry.
Je viens d'apprendre le départ de notre Colette.
Vous présentant nos sincères condoléances de la part de Sylvie, Léo et Philippe.

Cher ami Thierry Renard,
C'est avec amertume que j'ai appris le départ de ta maman.
Je n'ai pas eu la chance de faire sa connaissance. Cependant, en te connaissant toi, ton sens de l'amitié, ta bienveillance, ton intégrité, je devine les belles qualités dont ta maman était dotee, la femme éducatrice de valeur qu'elle a été.
A travers toi, ta vie, ton exemple, elle laisse une trace remarquable.
Lorsque le souvenir du départ de ta maman te peine, Cher ami Thierry, rappelle-toi que son sang coule dans tes veines. Elle est donc toujours présente, et bien vivante.
Reçois, Cher ami mes condoléances les plus sincères et l'assurance de mon amitié, auxquelles s'ajoutent celles de Chantal, dans cette douloureuse circonstance.

Nous, tes petits-enfants, ne pouvions pas être là aujourd’hui sans prendre la parole pour te dire au revoir et rendre hommage à la grand-mère et la femme que tu étais, avec respect, gratitude et sincérité.

Yoann, Kévin et Emeline se souviendront toujours de nos vacances passées ensemble, qui nous replongent directement en enfance : ces étés à Capbreton, au camping municipal, une chasse aux coquillages, une balade en forêt, l’odeur de l’océan et des pins, les chemins de sable, les journées entières en plein air… C’étaient des moments vrais, d’une simplicité précieuse. Tu faisais partie de cette atmosphère paisible, avec ta présence discrète mais rassurante, toujours attentive, sans jamais t’imposer.
Nous repensons également à ces moments au restaurant du golf à Arcangues, dans les premières années de ta maladie. C’était un lieu où tu étais encore pleinement présente. Tu savourais ta glace avec ton jus de fruit, apaisée, entourée de verdure. Ton regard restait vif, ancré dans le moment. Ces souvenirs comptent énormément pour nous, car ils témoignent de ta dignité, de ta capacité à rester connectée à la vie, malgré la maladie qui gagnait du terrain.

Delphine et Florian gardent le souvenir de moments heureux partagés avec toi, notamment des vacances à la mer en camping et à la neige dans le jura. Ils se souviennent également de la soupe à l’oignon et des gaufres qui remplissaient ta maison d’une odeur réconfortante, heureux de se retrouver autour de la table pour savourer tes plats délicieux.

Cabenson se souvient de ta bienveillance et de l’aide précieuse que tu lui as apporté dès son arrivée en France. Tu l’as poussée à faire ses devoirs et lui a montré comment préparer des plats cuisinés. C’est grâce à toi qu’il a pris goût à la cuisine et qu’il a suivi cette voie. Il n’a pas beaucoup partagé de moments avec toi, mais le peu de moments ont été inoubliables pour lui.

Bernite garde en mémoire les balades, les petits déjeuners ainsi que les pâtisseries que vous faisiez ensemble mais aussi les marchés où vous alliez, sans compter tous les moments que vous passiez devant la télé à parler ou juste à être ensemble. Elle est reconnaissante de tout l’amour et la douceur que tu lui as tant donnés.

Ilona ne te connaissait pas beaucoup et n’a pas eu l’occasion de partager des moments avec toi. Touchait par ta disparition, elle a tenu à partager une phrase en anglais de l’Evangile selon Matthieu, que nous te traduisons : « Heureux ceux qui pleurent, car ils seront consolés. Heureux ceux qui sont doux car ils recevront la terre que Dieu a promise. Heureux ceux qui ont faim et soif de vivre comme Dieu le demande car Dieu exaucera leur désir ».

Adèle, Charlotte et Régis s’associent à nous et ont une pensée toute particulière pour toi.
Charlotte se souvient encore de ta soupe au lait pendant les vacances à Capbreton ainsi que de ton amour pour les chats.
Régis garde en mémoire la côte de bœuf partagée avec toi au restau du golf ou au trinquet. Tu avais la délicatesse et la gentillesse de lui laisser pratiquement tout manger. Du coup, il adorait « partager » sa côte de bœuf avec toi.

Mamie, tu représentais pour nous une femme profondément digne, une femme de solidité et de courage silencieux. Tu avais une force intérieure remarquable, qui ne cherchait jamais à se mettre en scène. Tu traversais les épreuves avec recul, avec retenue, sans plainte. Même touchée par la maladie, tu as gardé cette forme de noblesse naturelle, cette façon d’affronter la vie sans renoncer à toi-même.
Ta générosité n’était pas dans le grand geste, mais dans l’attention. Tu n’étais pas expansive, mais tu avais le souci des autres. Tu veillais, tu prenais des nouvelles, tu faisais en sorte que chacun se sente bien.
Tu brillais d’une générosité discrète, mais vraie, sincère, fidèle.

Au nom de tous tes petits enfants, nous voulons te dire Merci.
Merci pour tous ces souvenirs qui resteront gravés dans nos mémoires et nos cœurs.
Merci pour ta présence, ton exemple, ta façon d’aimer sans bruit mais avec constance.

Aujourd’hui, tu rejoins la lumière, un ailleurs plus paisible, où le temps n’a plus d’emprise, où la maladie ne sévit plus.
Que ton repos soit doux et que la sérénité t’accompagne désormais. Tu resteras avec nous autrement, mais tu resteras toujours telle une étoile qui brillera toujours dans nos cœurs. Emporte avec toi, dans ton voyage vers l’au-delà, tout notre amour.
Adieu mamie. Paix à ton âme.

Une pensée fraternelle dans ces moments de grande tristesse…
La douleur ne s efface pas , seul le temps
Fait un peu son œuvre
Reçois Thierry toi et tes proches toute mon affection fraternelle .
Que ta maman repose maintenant en paix …
Avec toute mon affection

Je souhaite partager avec votre famille et surtout Thierry mes condoléances les plus sincères et respectueuses.
La présence des absents reste à tout jamais dans la mémoire des vivants.
Avec tout mon affection. Nathalie

Très cher Éric
Sommes de tout coeur avec toi
Nos condoléances ainsi qu'à ton frère et ta soeur.
A très bientôt.
Plein de mouchous
Germaine et Claude