Geneviève COSNARD

Ces quelques mots s’adressent à notre Mamie Geneu adorée, de la part de ses petits-enfants.

C’est dans le jardin de Brindos que tu nous as vu grandir, jouer, rire, et où nous étions toujours heureux de revenir pour se retrouver tous ensemble.
Tu as fait de cet endroit le parfait terrain de jeux que l’on ne voulait jamais quitter.
A Noël, c’était cage de foot, badminton, panier de basket.
Ce que tu voulais c’était nous voir jouer ensemble dans le jardin, assise sur le banc, comme notre plus fidèle supportrice qu’on devait absolument impressionner.
Ce jardin, tu nous l’as fait découvrir pendant des heures.
On t’admirait pour le travail, l’amour et la patience que tu lui apportais, et nous partagions ta tristesse quand tu ne pouvais plus t’en occuper autant que tu le voulais.
Heureusement tes filles et petits enfants ont su reprendre le flambeau.
Entre le nom des fleurs qu’on oubliait tout le temps, les feuilles qu’on ratissait, les balades au bord du lac, le potager qu’on tentait d’entretenir, tu nous as toujours accompagnés et ces moments resterons uniques.

Mamie Geneu, c’étaient aussi des escapades, du Pays Basque jusqu’en Amérique du Sud.
Tu nous faisais grimper jusqu’à la falaise aux vautours avant de dormir à l’arrière du Kangoo de Tatie Maryvonne au camping d’Iraty.
Tu nous as fait découvrir Saint Denis et ta maison natale.
Plus loin de là, tu nous rendais visite au Brésil et tu nous as accompagnés jusqu’au désert d’Atacama. D’ailleurs, souviens-toi de ce retour nocturne effrayant où nous étions perdus dans la pampa sous les étoiles.
Toute l’année, on attendait avec impatience l’été et le retour à Brindos, synonyme de retrouvailles entre cousins.

On se souviendra de ton grand sourire quand tu nous voyais tous regroupés dans le dortoir.
Il arrivait qu’il se transforme en rappel à l’ordre quand on faisait trop les fous, et on te comprend vu le bazar que ça devenait la plupart du temps.
Mais tout s’arrangeait avec un « T’inquiète, Mamie ».
On aimait s’allonger dans ton lit et écouter tes histoires sur ton passé, tes voyages, et parler de tout et de rien, faire la sieste à tes côtés, dans une ambiance apaisante.
Quand venait la fin de l’été, les au-revoirs étaient toujours difficiles.
Mais même au bout du monde, on savait que tu nous attendais.
Et quand venait le temps des retrouvailles, le atiou se dissipait et la joie revenait.

Tu étais intelligente et tu comprenais les enjeux de notre monde.
Tu nous as appris tant de choses que nous garderons précieusement pour la vie.
Tu étais une fierté à nos yeux.
On aimait parler de toi à nos amis, leur faire savoir qu’on avait une Mamie incroyable qui vivait dans une maison paradisiaque où ils y seraient les toujours les bienvenus.
Nous n’oublierons jamais la sagesse et la gentillesse avec lesquelles tu as bercé notre jeunesse.
Tu resteras à jamais dans nos cœurs et on sait que, de là où tu es, tu continueras à veiller sur nous.
Pour tous ces moments et souvenirs, on te dit merci, Mamie Geneu.

Eloge funèbre Tatie Gene

Tatie Gene, je viens te livrer ces quelques mots pour te rendre hommage, au nom de tes neveux et nièces, enfants de chères sœurs, Valérie, Babeth, Caroline, Sophie, Christophe, Pierre-Yves, Catherine, et puis aussi Arnaud, ton filleul, mon frère, qui t’a précédé dans le monde où tu viens d’entrer et où tu retrouveras aussi tes nièces Soizic et Anne-José, et ton neveu François, partis bien trop tôt eux aussi. Tu nous as tous et toutes portés dans tes bras à un moment de notre vie, tu as contribué pour toujours à l’amour que nous portons toutes et tous à notre grande famille aux racines bien ancrées en Mayenne, dans notre cher village de St Denis, un véritable village de gaulois irréductibles, notre repère, notre sanctuaire.

Avec ton départ, tu clos l’épopée des 6 sœurs Cosnard. Tu as tenu le flambeau de cette sororité magnifique le plus longtemps que tu as pu, et puis il est devenu trop lourd et tu t’en es allée toi aussi. Tu as été le dernier lien avec notre enfance, avec ces vacances rêvées réunissant toutes les cousines et cousins, les mamans, les taties, à St Denis et à Iraty, avec toutes ces fêtes et ces retrouvailles de la grande famille Cosnard qui ont rythmé notre vie et l’ont rempli de moments inoubliables. Avec ton départ, nous devenons tous aussi, tes neveux et tes nièces, un peu plus orphelin. A nous maintenant de porter le flambeau et de faire vivre l’histoire de cette famille surgie d’un petit village perdu au fin fond du bocage mayennais, une famille comme tant d’autres, mais c’est la nôtre et elle est donc unique.

Tatie Gene, j’ai eu la chance de pouvoir te dire au revoir juste avant que tu t’en ailles, il y a quelques jours. Je partais à Iraty justement, là où tu nous a amené tant de fois avec tes sœurs pour nous faire aimer cette montagne austère et secrète. Je me suis souvenu là-haut que c’est à Iraty que tu nous avais appris à broder en point de croix et à tricoter, tous, garçons et filles, allez hop, pas de distinction, lors de longues journées pluvieuses où il fallait bien occuper la marmaille. Et puis le soir tu nous racontais les potins de St Denis, les histoires secrètes du grand-père ou de la vieille tante, des histoires à dormir debout et à se plier en deux de rire. Si tu étais la plus petite, par la taille, des 6 sœurs, tu étais assurément la plus espiègle et la meilleure conteuse – t’en rajoutais peut-être un peu parfois, mais pour notre plus grand bonheur. Nous n’oublierons jamais les grands fous-rires que tu savais déclencher chez tes sœurs, avec ton sourire narquois. Et nous, chenapans, nous n’hésitions pas à te taquiner, mais tu le prenais bien, tu savais aussi te moquer de toi-même.

Tatie Gene, j’ai l’impression de t’avoir toujours connue. C’est encore plus vrai pour toi que pour mes autres Taties car… j’ai même assisté à ton mariage dans cette petite église de conte de fées en Mayenne, depuis le ventre de ma maman et c’était le le cas aussi pour ma cousine Catherine ! Et puis j’ai grandi ici et tu étais la tante la plus présente dans nos vies, à Caroline, Arnaud et moi. On était ravis quand on te voyait débarquer à la maison pour prendre le café, dans ta blouse blanche, entre deux patients, comme une tornade, jamais en manque d’une blague, même si tu venais aussi pour te changer les idées d’un quotidien parfois difficile. Tu étais si proche de notre maman, tu l’avais suivie pour t’installer ici dans ce Pays Basque que tu étais si fière d’appeler ‘ton pays’ et dont tu défendais bien la beauté et la culture. Je me souviens en particulier comment tu t’es battue, au côté d’autres, pour empêcher des projets immobiliers les plus fous qui auraient défiguré notre belle Côte basque… et vous avez gagné ! Pour ça, et pour tout le reste, pour ton hospitalité, pour ton humour, pour avoir été si aidante de notre maman dans les moments plus difficiles, merci Tatie.

Nathalie, Dominique, les enfants, Antony, nous comprenons et nous partageons votre douleur. Vous avez permis à votre mère, grand-mère et belle-mère adorée de rester le plus longtemps

possible dans cet écrin de paix et de beauté qu’est la maison de Brindos. Vous l’avez entourée de tout votre amour et lui avait permis de jouer jusqu’au bout ce rôle de matriarche qu’elle aimait tant. Nous vous souhaitons tout le courage possible pour traverser cette épreuve, et vous pouvez compter sur notre amour à toutes et tous, vos cousines et cousins issus de la Mayenne, pour vous épauler.

Chère Nath,
Je t’envoie tout mon soutien et mon amitié dans ces moments difficiles. Je pense bien à toi et à ta famille.
Je garderai de beaux souvenirs de ta maman, « Gene » qui nous accueillait si gentiment autour d’une piperade, son joli accent chantant…
Je t’embrasse ❤️
Laurence et Albert

Très chères Nath et Domi,
Nous pensons très fort à vous et à votre famille en ce moment de recueillement.
Nous nous souvenons très bien de votre si gentille maman, nous l’avions rencontrée dans sa jolie maison lors des 40 ans de Nath. Elles devait être si fière de vous et heureuse de tout l’amour qui vous unit et fait votre force.
Quelques mots sont si peu de choses face à la douleur de perdre un parent. Le temps apaisera cette douleur tout doucement…
Nous vous serrons fort dans nos bras. Courage.
Karine et Mathias

Bonsoir Nathalie. Je suis de tout cœur avec toi et ta famille dans cette nouvelle épreuve . Je garde d’elle de merveilleux moments dans votre maison. Pense aux autres mais prends soin aussi de toi dans ces moments douloureux. Je t’embrasse. Chris

Coucou les filles
Ce petit message pour vous dire que je serai de tout cœur avec vous demain par la pensée. Je regrette de ne pouvoir être parmi vous . J’avais beaucoup d’affection pour Geneu je me rappelle des petits séjours à Brindos qd les enfants étaient petits … elle dégageait beaucoup de gentillesse et de sagesse .
Je vous embrasse bien fort toutes les 2 , ainsi que les enfants
À très vite
Camille

onjour Nathalie, des souvenirs de ta maman me reviennent et je souris. Ce ne sont que des bons moments. Vous allez être bien entourés demain. ♥️On vous embrasse très très fort Aline

Salut Nathalie, on a appris pour ta maman, et on est sincèrement désolé pour Domi et toi, et vos enfants. Je garderai le souvenir de la gentillesse de ta maman quand elle nous accueillait dans sa maison. On pense très fort à vous et on vous embrasse fort.
Bruno

Ma chère Nathou, c’est avec une immense tristesse que je lis ton message et toutes mes pensées les plus profondes sont dédiées à toi et à Domi et à toute ta famille. Une femme extraordinaire, avec un grand cœur, toujours un sourire aux lèvres… qui nous accueillait toujours les bras ouverts. Courage ma Nath, et je voudrais te prendre dans mes bras😘 je t’embrasse très fort
Irène

Merci ma Nathou,
C’était hyper émouvant, faisant remonter tous les excellents souvenirs avec Gene, toi la bande et Brindos.
Ta maman nous recevait avec tellement de simplicité et d’affection.
Je pense qu’elle a été pour nous tous un peu notre maman quand nous étions à Biarritz.
J’étais ravis d’être auprès de toi dans ce moment à la fois douloureux et faisant remonter les bons moments que l’on a passé avec nos parents.
Énormes bisous
Alain

Ma chère Nathalie, quelle bien triste nouvelle. Ta mère représentera toujours pleins de beaux souvenirs. Son accueil était à chaque fois très chaleureux et elle montrait tant de gentillesse, avec un grand sens de l’humour. Les journées passées à Biarritz resteront des moments inoubliables et Gene y sera toujours associée.
Nous t’embrassons très très fort avec Irène et pensons énormément à toi et Dominique dans ces moments difficiles.
Thierry

Oh mes pauvres. Je pense bien à vous deux et aussi à ta maman et à tous ces moments joyeux que nous avons passés chez elle. Que de souvenirs ! Je t’embrasse tres tres fort. Helene

Coucou, j’ai bien pensé à vous encore aujourd’hui ! C’était bien de vous voir et de ce passer un de temps ensemble hier. Votre éloge à Gene était magnifique.
Je vous embrasse très très fort.
❤️❤️❤️❤️
Bibi

Chères Nathalie et Dominique,
J’ai appris avec beaucoup de tristesse que votre Maman vous avait quittées. Je pense bien fort à vous deux et aux enfants et partage votre chagrin. Je me souviens de sa gaieté quand nous venions en vacances à Biarritz, de son hospitalité, de son beau sourire et de sa gentillesse constante.
Je vous embrasse bien affectueusement et m’associerai par la pensée à la cérémonie de jeudi.
Didier

Merci les filles. Je crois me souvenir que Nathalie repartait aujourd’hui ; ça a du être un peu difficile de vous séparer après les moments fusionnels partagés. J’ai beaucoup repensé à votre texte, si bien écrit, si bien partagé… généreux, humain, sensible comme celle qui l’a inspiré. Je voulais vous dire que vos voix m’ont accompagné ces derniers jours. Merci pour ça. J’espère que vos enfants et Antony se remettent. Bises et courage à tous 😘
Cécile

Toutes nos pensées amicales vous accompagnent et vous soutiennent en ce moment.

Geneu avait gardé en elle la mémoire de tous les bons souvenirs que nous avions partagés avec votre famille. Ce lien d’amitié était fort.

Aude et Benoît se joignent à nous pour vous embrasser.
Denise Daniel

Merci beaucoup moi aussi elle compté beaucoup pour moi
Je vous embrasse à très bientôt
Vous aviez une maman et mamie formidable
Laurence L.

Maman,

Domi
Ton enfance dans un petit village de Mayenne, des parents aimants, ta naissance au sein d’une lignée de 6 filles et la vie à la campagne ont forgé ta personne: simple, forte et courageuse, proche de la nature, très attachée à la solidarité familiale.
Impossible de parler de ta vie sans évoquer "les soeurs Cosnard", une véritable tribu, les phénomènes du village, liées du début à la fin par des racines fortes.
Penser que vous êtes à nouveau toutes réunies aujourd’hui est d’un grand réconfort pour nous.

Mais ton enfance est également marquée par des souvenirs liés à la guerre, à la place parfois injuste de la femme dans la société, aux obstacles à franchir pour s'élever et réaliser ses rêves.
Tu avais déjà une conscience moderne, une envie très forte de ne pas te limiter à ce que l'on attendait de toi.

Nath
Ta jeunesse marquera alors l'étape de l’émancipation et du grand départ pour l’aventure sous le regard triste mais encourageant de tes parents, les études de biologie qui te passionnait tant, tes premiers pas à Paris avec tatie Annick et tonton Jacques te prenant sous leur aile et t’enseignant les rudiments de la préparation en pharmacie.
Cette complicité indéfectible avec ta soeur Annick te mènera rapidement au Pays Basque où tu trouveras les plus belles choses que la vie peut offrir: l’accomplissement et l’indépendance grâce à ton travail, la découverte d’une région si attachante, le Grand Amour, papa, le temps des copains et de la fête au sein du Ski Club Basque, la passion pour la montagne …
Tu y adopteras surtout ta 2de famille, le clan Balette, papi et mamie Mouguerre, Gilbert, AM, Yayou et Gisou pour qui tu deviendras rapidement une “grande soeur”…
Et bien sûr l’arrivée de tes 2 filles, de tes neveux et nièces, le temps des projets, la construction de votre maison à Brindos.

Domi
Brindos, c’est beaucoup plus qu’une maison, c’est la force d’un rêve commun à papa et toi, l’énergie de votre jeunesse, le choix de l’audace contre le raisonnable: Rechercher un lieu idyllique encore inexploré par les autres, bâtir avec de modestes moyens, à la force de vos mains, un peu de débrouille et l’aide de votre entourage.

Maman, tu es pour nous indissociable de Brindos, c’est ton royaume, ton refuge, ton terrain de jeu et surtout un lieu d'accueil pour nous tous.


Faire des choses de tes mains te rendait heureuse: le jardinage, la couture, le bricolage, la cuisine … Comment oublier tes ateliers confits et foie gras au garage avec tes sœurs, nos vêtements à Nath et moi, assortis, 100% faits maison, l’arrosage quasi cérémonial de ta multitude de plantes, et toutes les incessantes petites réparations à faire?
Entretenir ta maison et ton jardin n’était pas chose facile pour toi toute seule, cela te faisait parfois enrager mais tu n’y aurais renoncé pour rien au monde.
Car tu étais courageuse, menant de front ta vie active entre clinique et laboratoire, les gardes du WE, les multiples A/R pour nos activités … Et comme beaucoup d’autres traversant les moments difficiles de l’existence, la perte d’êtres chers, la déception sentimentale, la gestion pas toujours simple de 2 adolescentes.

Quand Nath et moi avons pris notre envol et le temps venu de la retraite, tu as mobilisé tes ressources pour croquer la vie, repartir à l’assaut des montagnes avec le CAF, la Retraite Sportive et donner de ton temps à la Banque Alimentaire.
Avec ta sœur Maryvonne, vous vous êtes énormément rapprochées.
Elle est devenue ta fidèle partenaire avec qui, entre 2 chamailleries, tu partageais les joies du jardin, des randos, des couchers de soleil sur l’océan, des voyages en Europe, en Inde, en Afrique et au Brésil.

Tu avais soif de bien connaître ton environnement proche, tout autant que l’actualité de notre pays ou la marche du monde en général à travers revues, émissions et beaux reportages télé que tu consommais sans modération.
Ton regard sur le monde et sur les autres en était chaque jour plus ouvert et clairvoyant.
Discuter avec toi était un régal, tu étais intelligente et cultivée, d’une grande tolérance, et savais composer les justes doses dans tes jugements.

Nath
Il fallait venir à toi, dans ta sphère intime, pour te connaître vraiment et bénéficier de toutes tes attentions.

Tu y as accueilli Antony; Entre vous s’est rapidement instauré un grand respect, une entente sincère et naturelle.

Et tous ces beaux souvenirs partagés chez toi avec nos amis, la porte était grande ouverte, tu étais heureuse et fière d'abriter une troupe boulimique d'activités ou bien en quête de repos.
Tu t'intéressais alors à la petite histoire de chacun, tu avais à cœur que tous découvrent le meilleur du Pays Basque grâce à tes bons conseils.
Et nous nous sentions bien, tout simplement, laissant libre cours à l'enthousiasme de notre jeunesse sous ton regard amusé, complice et bienveillant, même si nous n'étions pas toujours très raisonnables.
Que de beaux témoignages reçus de tous sur ta gentillesse.

Accueillir tes petits-enfants a été une étape cruciale dans ta vie. Comme s’ils arrivaient à point pour recevoir tout l’amour encore en réserve dans ton cœur.
Te dédier entièrement à leur bien-être, accourir au moindre besoin et leur faire partager les joies simples, telle était ta recette.

Avec Domi, nous étions ta priorité absolue, entrer chez toi nous transportait immédiatement dans un monde rassurant d'amour inconditionnel, de protection, et surtout d'écoute.
Ah ça, tu en as entendu de nos histoires, des petits tracas du quotidien aux grands questionnements sur la vie, tu nous conseillais souvent, et quand tu sentais que ce n'était pas simple, que tu n'avais pas toutes les clefs, tu compatissais humblement avec un regard si aimant que l'on savait que quoiqu'il advienne tu serais toujours de notre côté.
Nous formions un trio sacré.
Avec le temps, nous avons ressenti à notre tour le besoin de te protéger, de t’apporter les petits plaisirs encore à ta portée, de te réconforter, ce qui nous a offert d’incroyables moments de tendresse ensemble.
Tu ne cessais de nous exprimer ta reconnaissance. Mais tu le méritais tant.

Le vide que tu laisses va bien au-delà de ce que nous avions à peine commencé à imaginer.

Au revoir maman, nous t’aimons pour toujours.

Dominique, Nathalie, vos enfants, Gisou, Gilbe
rt et Anne-Marie
Nous vous adressons nos très sincères condoléances.
Nous vous souhaitons beaucoup de courage pour affronter cette nouvelle épreuve.
Nous vous embrassons bien affectueusement.
Hélène et Gérard Lucq de Béarn

C'est avec une grande émotion, que nous avons appris le décès de votre maman et grand mère. En ces moments difficiles, nous tenons à vous faire part de nos sincères condoléances. Nous partageons votre peine et pensons bien fort à vous tous.
Vos petits cousins
Pierrette Frédéric Pierre -Eloi

Nicole (cousine de Pau) et Maurice vous présentent leurs très sincères condoléances, j'ai tj apprécié la douceur et la gentillesse de Geneviève, j'embrasse affectueusement toute la famille et particulièrement ses filles, mes petites cousines Nathalie et Dominique.