Geneviève Cosnard

Dominique, Nathalie, vos enfants, Gisou, Gilbe rt et Anne-Marie Nous vous adressons nos très sincères condoléances. Nous vous souhaitons beaucoup de courage pour affronter cette nouvelle épreuve. Nous vous embrassons bien affectueusement. Hélène et Gérard Lucq de Béarn

C'est avec une grande émotion, que nous avons appris le décès de votre maman et grand mère. En ces moments difficiles, nous tenons à vous faire part de nos sincères condoléances. Nous partageons votre peine et pensons bien fort à vous tous. Vos petits cousins Pierrette Frédéric Pierre -Eloi

Ces quelques mots s’adressent à notre Mamie Geneu adorée, de la part de ses petits-enfants. C’est dans le jardin de Brindos que tu nous as vu grandir, jouer, rire, et où nous étions toujours heureux de revenir pour se retrouver tous ensemble. Tu as fait de cet endroit le parfait terrain de jeux que l’on ne voulait jamais quitter. A Noël, c’était cage de foot, badminton, panier de basket. Ce que tu voulais c’était nous voir jouer ensemble dans le jardin, assise sur le banc, comme notre plus fidèle supportrice qu’on devait absolument impressionner. Ce jardin, tu nous l’as fait découvrir pendant des heures. On t’admirait pour le travail, l’amour et la patience que tu lui apportais, et nous partagions ta tristesse quand tu ne pouvais plus t’en occuper autant que tu le voulais. Heureusement tes filles et petits enfants ont su reprendre le flambeau. Entre le nom des fleurs qu’on oubliait tout le temps, les feuilles qu’on ratissait, les balades au bord du lac, le potager qu’on tentait d’entretenir, tu nous as toujours accompagnés et ces moments resterons uniques. Mamie Geneu, c’étaient aussi des escapades, du Pays Basque jusqu’en Amérique du Sud. Tu nous faisais grimper jusqu’à la falaise aux vautours avant de dormir à l’arrière du Kangoo de Tatie Maryvonne au camping d’Iraty. Tu nous as fait découvrir Saint Denis et ta maison natale. Plus loin de là, tu nous rendais visite au Brésil et tu nous as accompagnés jusqu’au désert d’Atacama. D’ailleurs, souviens-toi de ce retour nocturne effrayant où nous étions perdus dans la pampa sous les étoiles. Toute l’année, on attendait avec impatience l’été et le retour à Brindos, synonyme de retrouvailles entre cousins. On se souviendra de ton grand sourire quand tu nous voyais tous regroupés dans le dortoir. Il arrivait qu’il se transforme en rappel à l’ordre quand on faisait trop les fous, et on te comprend vu le bazar que ça devenait la plupart du temps. Mais tout s’arrangeait avec un « T’inquiète, Mamie » On aimait s’allonger dans ton lit et écouter tes histoires sur ton passé, tes voyages, et parler de tout et de rien, faire la sieste à tes côtés, dans une ambiance apaisante. Quand venait la fin de l’été, les au-revoirs étaient toujours difficiles. Mais même au bout du monde, on savait que tu nous attendais. Et quand venait le temps des retrouvailles, le atiou se dissipait et la joie revenait. Tu étais intelligente et tu comprenais les enjeux de notre monde. Tu nous as appris tant de choses que nous garderons précieusement pour la vie. Tu étais une fierté à nos yeux. On aimait parler de toi à nos amis, leur faire savoir qu’on avait une Mamie incroyable qui vivait dans une maison paradisiaque où ils y seraient les toujours les bienvenus. Nous n’oublierons jamais la sagesse et la gentillesse avec lesquelles tu as bercé notre jeunesse. Tu resteras à jamais dans nos cœurs et on sait que, de là où tu es, tu continueras à veiller sur nous. Pour tous ces moments et souvenirs, on te dit merci, Mamie Geneu.

Nicole (cousine de Pau) et Maurice vous présentent leurs très sincères condoléances, j'ai tj apprécié la douceur et la gentillesse de Geneviève, j'embrasse affectueusement toute la famille et particulièrement ses filles, mes petites cousines Nathalie et Dominique.