Jean-Michel ARLAS

Toutes mes condoléances à la famille.
J'ai travaillé près de 10 ans avec Jean-Michel à Etxea, je retiens de lui une gentillesse et une humanité remarquable. Je ne l'oublierai pas...

J’adresse à toute votre famille mes plus chaleureuses condoléances.
Je vous souhaite à tous, le plus grand courage pour affronter cette terrible épreuve.
Jean-Paul.

C’est avec une grande tristesse que nous avons appris le décès de ton père.
En ces moments douloureux, l’ensemble des collaborateurs de Belambra tient à exprimer à Maxime et à sa famille toute notre compassion et notre soutien.

Nous savons combien l’amour d’un parent marque une vie, et combien son absence laisse un vide.
Nous espérons que Maxime pourra trouver dans les souvenirs partagés et dans l’affection de ses proches la force d’affronter cette épreuve.

Au nom de toute l’équipe d'Anglet, nous lui adressons nos plus sincères condoléances.
Olivier

Valérie, nous te présentons nos sincères condoléances et pensons très fort à toi et à vos proches dans ce moment difficile.
Nous garderons un très bon souvenir de nos échanges avec Jean-Michel.
Thomas, Sabrina et Clara

Je t’ai connu dans mes débuts de thérapeute, je garde dans le cœur ta transmission sacrée, ton accompagnement , ta compassion, ta lumière, ta capacité à apaiser , transformer là où vivait la blessure.
Cette prière que j’utilise et que je transmets à mon tour comme un partage d’énergie.
J’adresse toutes mes pensées de soutien à vous ses proches, merci à Valérie pour cette jolie mise en lien et cet accompagnement en douceur.
Marion Gayral

Sincères condoléances Valérie, pour toi et tes proches. Je suis de tout cœur avec toi. Pensées affectueuses. Sylvie.

Tu es un être à part, solaire et spirituel, de ceux qui illuminent doucement la vie des autres.
Avec Pierre, on aimait t’appeler "le marabout" avec tendresse,
parce que tu avais ce don rare d’apaiser, de relier, de faire du bien.
Tu restes une boussole précieuse pour ceux qui ont eu la chance de naviguer un temps à tes côtés.

Je pense fort à ta famille, et à Valérie aussi, avec qui tu as partagé une si belle traversée.

Et à toi, je dis simplement : bon vent, Jean-Michel.
Tu vogues désormais vers d’autres rivages,
dans un ailleurs que j’imagine paisible,
bercé par le chant lointain d’un saxophone jazzy venu du large.